Julia a 42 ans. C’est une femme de carrière joyeuse et prospère. Elle a trouvé l’amour de sa vie et a été transformée non seulement extérieurement, mais aussi intérieurement
Son histoire :
« J’ai rencontré un jeune homme alors que je partais pour affaires dans une autre ville. Je ne l’ai pas immédiatement aimé, mais son raisonnement et sa sagesse m’ont captivé. En cinq jours passés ensemble, j’ai réalisé que j’étais tombé éperdument amoureux. Nous avons entretenu une relation à distance, et bientôt Denis a proposé de déménager dans sa ville.
Bien-aimé a loué un appartement, nous avons fait une petite réparation et avons commencé à nous installer. Il semblait que c’était une sorte de conte de fées, mais après une semaine, j’ai cessé de reconnaître ma bien-aimée. Il était agacé par ma façon de cuisiner, de peindre, de mener une vie. Naturellement, cela m’a offensé, mais je ne l’ai pas montré.
Nous avons vécu trois mois et Denis a dit qu’il valait mieux que nous partions. J’étais abasourdi, mais je n’allais pas m’imposer. Je me suis retrouvé seul sans revenu dans une ville inconnue. C’était effrayant.
Après avoir pleuré pendant quelques semaines, je me suis finalement ressaisi et j’ai trouvé un emploi. J’ai réussi à gravir les échelons de ma carrière, à rencontrer des hommes et à changer extérieurement. J’ai dû vendre un appartement dans ma ville natale, car il y avait plus de prospects qui m’attendaient ici. J’ai eu mon propre toit au-dessus de ma tête et une voiture, ainsi qu’une entreprise rentable.
Un jour, j’ai croisé par hasard la route de mon ex près du centre commercial. Il était dans la même voiture et dans le même costume. Il ne m’a pas reconnu, mais quand il m’a vu, un sourire est apparu sur son visage.
Denis m’a invité à prendre un café, mais j’ai refusé. Maintenant, il m’appelle et me demande pardon. Mais je ne reviendrai pas dans cette relation.»
Je suis toujours heureuse pour des femmes aussi fortes qui trouvent de la force en elles-mêmes et construisent leur bonheur, quoi qu’il arrive. Ils traversent la douleur, mais atteignent des hauteurs irréalistes. Bravo!