Un photographe qui voyageait dans le nord de l’Italie est tombé sur ce joyau. Au départ, il a été choqué par les ruines de l’ancienne maison, mais lorsqu’il a vu que son intérieur était presque entièrement préservé, ainsi que des meubles luxueux du XIXe siècle, et que la cave avec des dizaines de bouteilles scellées n’avait pas été touchée par le temps, il était simplement choqué.
Roman Robroek vient des Pays-Bas et ses clichés préférés sont de vieux bâtiments abandonnés. Lors d’un voyage dans le nord de l’Italie, il visite une petite ville où il tombe sur une villa du XIXe siècle.
En passant devant les ruines, envahies de verdure et de mousse, il fut choqué par ce qu’il vit ensuite. Étonnamment, l’intérieur d’origine avec des meubles anciens a été presque entièrement conservé dans la maison.
Il y avait un sentiment comme si le temps avait contourné les ensembles de chambre à coucher, et toutes les pièces semblaient déjà avoir été préparées pour la réception des invités. Le fait que les gens n’étaient pas venus ici depuis longtemps n’était attesté que par une épaisse couche de poussière.
Se déplaçant dans la villa, Roman entra dans le salon, qui était fait dans les tons jaunes. Il y avait des canapés luxueux et au plafond il y avait une image exquise d’un arbre.
Le reste des pièces n’était pas moins admirable. Dans l’un d’eux, il a trouvé une peinture murale représentant un beau château sur fond de mer.
Ensuite, Roman a déménagé au sous-sol, où il a trouvé une cave à vin avec une collection de bouteilles scellées de vin et d’alcool couvertes de poussière.
La chose la plus intéressante est que même les rideaux des fenêtres sont parfaitement conservés. De vieux livres traînaient dans les chambres, des statues de saints et la Madone se tenaient debout.
Plus tard, il s’est avéré que cette villa appartenait à un avocat qui portait le titre de chevalier. Dans l’une des pièces, il y avait même un portrait de lui avec une inscription indiquant que cette personne était née en 1874.
Après un avocat, une riche famille de propriétaires terriens qui cultivaient des céréales a vécu dans la maison.
Toujours dans le bureau, le photographe est tombé sur plusieurs actes de naissance, l’un d’eux disait que le fils de cette famille était né en 1941 et avait fait des études supérieures en agriculture.